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[Espagnol]Son frère travaille (correction)
Message de vegana posté le 20-12-2008 à 15:48:57 (S | E | F)
Bonsoir à tous, j'ai une traduction à faire, je vous le présente donc, et si il y a des erreurs, merci de me les montrer.
traducir :Cependant ses limites sont connues. Le micro- crédit permet, certes, de lutter contre la pauvreté. Mais uniquement dans les zones qui bénéficient déjà d’une activité diversifiée.
P. Merlant et P. Viveret
Le Monde diplomatique,
Le 10 novembre 2006
traducción : Sin embargo sus límites son conocidos. El micro-crédito permite en efecto luchar contra la pobreza. Pero únicamente en las zonas que ya benefician de una actividad diversificada.
P. Merlant y P. Viveret
El Mundo diplomático,
El 10 de noviembre de 2006
contexto :
Vers un monde du troc
Hors des circuits commerciaux et financiers traditionnels, des réseaux informels de solidarité se mettent en place dans nombre de pays. Loin d’être négligeable, leur action est aujourd’hui prise en compte par les autorités.
C’est la forme d’échangé économique la plus vieille du monde et elle revient aujourd’hui à la mode pour incarner une certaine modernité. Le troc est remis en selle par l’économie sociale. De nos jours, on ne troque plus seulement des objets, mais aussi du temps, de l’entraide, du savoir, des compétences, de l’attention aux autres. Toutes sortes de choses de la vie quotidienne qui entretiennent des solidarités, alimentent des réseaux et nourrissent la convivialité, le « vivre ensemble ». Avec les systèmes d’échange partagés se développe une économie invisible qui rend de grands services. Surtout lorsqu’elle est démultipliée par des initiatives d’épargne et de crédits originales. Prenons comme exemple le Cameroun.
A Ekounou, quartier populaire perché sur une colline verdoyante de Yaoundé, l’atelier de couture d’Estelle connaît une renommée enviable. Il y a encore deux ans, cette Camerounaise de 23 ans gagnait sa vie au coup par coup, en reprisant à l’aiguille pantalons et boubous ou en vendant des beignets sur le bord de la route avec sa tante. C’est une femme de son quartier qui lui a conseillé d’aller voir l’antenne d’Action contre la faim présente à Ekounou. Celle-ci prête de l’argent aux femmes souhaitant démarrer une activité de production ou de vente. Avec 15 000 francs CFA (23 euros), Estelle a pu acheter une machine à coudre à pédale et monter ainsi son petit atelier. La pièce est minuscule, en béton et tôles ondulées. Mais les deux grandes ouvertures offrent une bonne luminosité. Aujourd’hui, Estelle fabrique des vêtements sur mesure, mais aussi des sacs, des poupées. Son frère travaille avec elle, sur la machine. A eux deux, ils ont pu rapidement rembourses la petite somme prêtée et font vivre une famille élargie : père, mère, aïeux, cousins. Si Estelle n’a pas hésité à se lancer dans l’aventure, c’est parce que le système du prêt ne lui était pas inconnu :
La pratique traditionnelle de la tontine permet depuis longtemps aux femmes africaines de mener à bien des projets grâce à une mise de fonds commune, dans les villages ou les quartiers. Les institutions publiques (ministère des Affaires étrangères, Agence française pour le développement), les ONG et les sociétés privées s’intéressent au micro- crédit depuis le succès de l’initiative lancée au Bangladesh dans les années 70. Ce type de financement connaît un succès grandissant au Cameroun, et dans toute l’Afrique. Cependant ses limites sont connues. Le micro- crédit permet, certes, de lutter contre la pauvreté. Mais uniquement dans les zones qui bénéficient déjà d’une activité divers
Message de vegana posté le 20-12-2008 à 15:48:57 (S | E | F)
Bonsoir à tous, j'ai une traduction à faire, je vous le présente donc, et si il y a des erreurs, merci de me les montrer.
traducir :Cependant ses limites sont connues. Le micro- crédit permet, certes, de lutter contre la pauvreté. Mais uniquement dans les zones qui bénéficient déjà d’une activité diversifiée.
P. Merlant et P. Viveret
Le Monde diplomatique,
Le 10 novembre 2006
traducción : Sin embargo sus límites son conocidos. El micro-crédito permite en efecto luchar contra la pobreza. Pero únicamente en las zonas que ya benefician de una actividad diversificada.
P. Merlant y P. Viveret
El Mundo diplomático,
El 10 de noviembre de 2006
contexto :
Vers un monde du troc
Hors des circuits commerciaux et financiers traditionnels, des réseaux informels de solidarité se mettent en place dans nombre de pays. Loin d’être négligeable, leur action est aujourd’hui prise en compte par les autorités.
C’est la forme d’échangé économique la plus vieille du monde et elle revient aujourd’hui à la mode pour incarner une certaine modernité. Le troc est remis en selle par l’économie sociale. De nos jours, on ne troque plus seulement des objets, mais aussi du temps, de l’entraide, du savoir, des compétences, de l’attention aux autres. Toutes sortes de choses de la vie quotidienne qui entretiennent des solidarités, alimentent des réseaux et nourrissent la convivialité, le « vivre ensemble ». Avec les systèmes d’échange partagés se développe une économie invisible qui rend de grands services. Surtout lorsqu’elle est démultipliée par des initiatives d’épargne et de crédits originales. Prenons comme exemple le Cameroun.
A Ekounou, quartier populaire perché sur une colline verdoyante de Yaoundé, l’atelier de couture d’Estelle connaît une renommée enviable. Il y a encore deux ans, cette Camerounaise de 23 ans gagnait sa vie au coup par coup, en reprisant à l’aiguille pantalons et boubous ou en vendant des beignets sur le bord de la route avec sa tante. C’est une femme de son quartier qui lui a conseillé d’aller voir l’antenne d’Action contre la faim présente à Ekounou. Celle-ci prête de l’argent aux femmes souhaitant démarrer une activité de production ou de vente. Avec 15 000 francs CFA (23 euros), Estelle a pu acheter une machine à coudre à pédale et monter ainsi son petit atelier. La pièce est minuscule, en béton et tôles ondulées. Mais les deux grandes ouvertures offrent une bonne luminosité. Aujourd’hui, Estelle fabrique des vêtements sur mesure, mais aussi des sacs, des poupées. Son frère travaille avec elle, sur la machine. A eux deux, ils ont pu rapidement rembourses la petite somme prêtée et font vivre une famille élargie : père, mère, aïeux, cousins. Si Estelle n’a pas hésité à se lancer dans l’aventure, c’est parce que le système du prêt ne lui était pas inconnu :
La pratique traditionnelle de la tontine permet depuis longtemps aux femmes africaines de mener à bien des projets grâce à une mise de fonds commune, dans les villages ou les quartiers. Les institutions publiques (ministère des Affaires étrangères, Agence française pour le développement), les ONG et les sociétés privées s’intéressent au micro- crédit depuis le succès de l’initiative lancée au Bangladesh dans les années 70. Ce type de financement connaît un succès grandissant au Cameroun, et dans toute l’Afrique. Cependant ses limites sont connues. Le micro- crédit permet, certes, de lutter contre la pauvreté. Mais uniquement dans les zones qui bénéficient déjà d’une activité divers
Réponse: [Espagnol]Son frère travaille (correction) de mandine42, postée le 21-12-2008 à 15:48:32 (S | E)
Bonjour,
-ESTAR conocidos car on indique ici un constat et non une action à la forme passive
-"certes"= "desde luego" car ici on est dans le sens de évidemment , bien sûr
-bénéficier de = gozar del beneficio de algo
Réponse: [Espagnol]Son frère travaille (correction) de vegana, postée le 23-12-2008 à 02:08:25 (S | E)
gracias por su ayuda